Avis sur Vicky

Nullissime. Rien à sauver. Personnages repoussants et histoire sans le moindre intérêt. Et bien entendu, pas du tout drôle

Les aristocrates à la lanterne! Plusieurs questions se posent: déjà, comment un film aussi mauvais peut-il trouver un financement et surtout une distribution aussi large? Ensuite, comment peut-on faire une bande son aussi calamiteuse? Après, comment Berléand a-t-il pu compromettre son grand talent au service de ce truc, de ce machin ? Enfin, est-ce là encore les copains des copains qui postent les critiques de spectateurs positives. Ça, on le bien verra à l'usage, et on fera le compte après quelques semaines. Pour moi, impossible qu'une note aussi élevée se maintienne ( elle est de 3.0 quand j'écris cette critique).
Sur le fond, l'histoire est totalement inintéressante, Non, la vie de la bourgeoisie parisienne qui se pose des questions imbéciles n'a rien de palpitant. Du pur scénario hors sol, aucun gout, aucune saveur. Mais qui sont ces gens? Sur la forme, qu'est-ce qu'elle joue mal la fille du grand Guy. Ha ça ira, ça ira, qu'ils disaient, l'aristocratie du show biz à la lanterne! Encore quand ils sont bon, pourquoi pas, on peut tolérer, mais là, qu'ils laissent la place aux jeunes talents au lieu de tout accaparer.
Bref, le seul intérêt de ce piètre défilé de lieux communs et d'ennui, c'est les chansons du film. Je ne savais pas qu'on pouvait en imaginer de si mauvaises. Et les chanter aussi mal. Les Gérard de la chanson?

"Les mémoires d'une jeune bobo (pas si...) rangée", que ce "Vicky" ? On perdrait son temps cependant à chercher une histoire dans ce 1er "long", mis en images par tâcheron, jusque-là seulement assistant-réalisateur, au calamiteux "Platane - saison 1" de Canal Plus près, Denis Imbert. Une bobo presque trentenaire version haut de gamme (habite chez papa/maman dans l'Île-St-Louis, famille d'"artistes" reconnus, avec domestique à demeure et argent de poche conséquent - du genre permettant un AR Paris/Marseille en taxi, à plusieurs milliers d'euros, histoire de se "déstresser"...), qui se "destope" (voir ici les effets sémantiques tirés de ce produit destiné à déboucher les canalisations - LA trouvaille de dialogue, dans la bouche de la mère) une nuit de beuverie, et en tire inspiration, en poussant la chansonnette, rejoignant ainsi ses père et frère, "saltimbanques" (de luxe). Mlle Victoria Bedos, la plus jeune des 3 filles de (issue, comme son illustre frère Nicolas, du 3e mariage de M. B. "humoriste" - à la retraite), essaie donc de se raconter, devant la caméra de DI, qui essaie de filmer. Bien que caricaturaux à l'extrême, on n'a l'occasion d'amorcer un sourire qu'avec les passages où l'ado attardée esquisse les silhouettes parentales, car ce sont les très pros Berléand et Lauby qui s'y collent... Pour le reste, cet exercice nombriliste sans saveur (sauf à être visionné au xième degré, comme un document ethnologique, sur le boboland, ses codes et ses "valeurs" bisounours) laisse le spectateur confondu. Par tant de médiocrité satisfaite.

Sincèrement, ne perdez pas votre temps à aller voir ce film! l'actrice principale est insipide, heureusement que Chantal Lauby et François Berleand sont là mais...sans intérêt!
Pas de scenario...dialogues nuls et en plus, ce film qui se voulait être drôle à été complètement desservi par la bande - annonce finalement peu représentative du film...

Vicky est un film hyper intéressant car il n'y en a pas beaucoup qui nous donne à voir un tel niveau de nullité décomplexée. On ne sait par ou commencer tellement l'ensemble est mal écrit, mal filmé et mal joué et surtout n'a aucun intérêt pour les gens, oui pour nous.
Après tout, ils ont raison : la télévision leur donne de l'argent donc tout le monde cachetonne sur ce genre de films; ils prennent quelques milliers d'euros; ça fait une ligne de plus au cv et ma foi cette horreur qui a déjà disparu des écrans ne sera dans quelques jours plus qu'un mauvais souvenir pour le gogo qui paye sa place mais un moment intéressant financièrement pour toute l'équipe qui a participé à cette chose.

J’aimais bien le père Bedos, moins le fils, donc je voulais voir ce que donnait la fille, et ce malgré les récompenses façon Razzie ou la tête très typée de Victoria.
Au départ ça commençait mal : musique agaçante, montage anarchique, acteurs peu inspirés, une histoire bateau, des dialogues qui touchent le fond, rien de marrant, un voix off désespérante (surtout quand on sait que c’est Claude, le sexe de l’héroïne qui ne sert à rien, tombe comme un cheveu dans la soupe et n’amène rien), et un côté film français bien lourd, comme trop souvent. Le problème c’est que ça ne démarre jamais, donc on reste sur ces débuts, sans raison ni fil conducteur. Un exemple pour le montage c’est le sort des parents. Clairement Berléand et Lauby sont les têtes d’affiches, l’intrigue les concernant se résume en 2 phrases : « elle sort avec Bertrand » et « reste, je sais que tu t’ennuies », c’est tout. Donc tu ne sais rien, au contraire de Vicky, de ses répétitions et de ses états d’âmes. Pourquoi en parler ou les aborder si on les élude et on s’en désintéresse à la moindre occasion ? De toute façon, le guest star c’est Benjamin Biolay, puis le 2nd rôle (Banjo) est un faire-valoir de quelqu’un qui ne vaut rien, c’est dire le level.
Bon faut dire que tout ça c’est les conséquences d’un orgasme féminin, ça pose la profondeur du sujet. Certes c’est original comme histoire, mais intéressant ? Non, surtout que la trame est classique, tout est prévisible, du coup on décroche. Comme on ne peut jamais accrocher par manque de contenu, et que le rythme est haché par trop de longueurs, le réalisateur n’a aucune possibilité de remonter la pente. C’est vrai que ça tente d’aborder le thème de la différence de l’amour vu selon les sexes, mais c’est tellement bateau et mal fait qu’on s’en désintéresse rapidement. Quant à la crise d’ado vantée par l’affiche, on l’attend toujours, ou on n’a pas la même définition de ce que c’est, à moins que d’avancer dans la vie en soit le sens. Le seul bon point c’est la reprise du King, les autres chansons étant moches, surtout quand Vicky chante, et il y en a trop. Dommage qu’elle n’ait pas de voix.
J’ai voulu tenter, donner sa chance à un long métrage en allant à l’encontre des préjugés, mais non. Je me range à l’avis général : c’est n.ul, long à débuter vu que ça ne part jamais vraiment, et c.hiant bien sûr. En fait c’est déprimant vu que ça montre la capacité de la production française, et là t’as peur.

Nul
Film égocentrique Bourgeois ! Qui peut être touché par cette fille bien née en mal de reconnaissance!
Qu'on m'explique le couple d ami muet qui sert à rien ?! Plus la bonne , antipathique et inutile ...
De plus ,passer le message de coucher pour réussir ( comprends qui a vu) !!!!
Autant la famille bélier c'était magique , la Cest soporifique ...
Big Up a Chantal Lauby quand mm

Dommage Ca manque de sincérité et D humanité ... C'est trop centrer sur un monde très loin des gens
" je suis "fille de "et Cest magique "

Dans la famille Bedos je demande : la fille. Manque de pot le talent saute parfois des générations, et quand on sait ce que le père pense du talent (sketch du bottin)… puis vu ce qu’il disait de ses mômes c’est pas glorieux. Il se trouve que c’est pareil au ciné, si Nicolas s’en tire encore pas mal la sœur par contre…
2ème plus gros flop du cinéma français en 2016, belle note. Faut dire que confier le rôle du protagoniste à une débutante qui ne brille que par son nom c’était pas malin, lui accoler un scénario débile et basique c’était suicidaire. Rien à ressortir de bon donc, un rythme plan plan, un côté comédie française complet donc pas marrant, un peu cucul, en gros génial tu t’ennuies ferme.

Un film qui paraît léger au premier abord mais qui donne une Piètre image de la femme, pauvre petite chose incapable d'assumer ses choix sa sexualité et de rembarrer les hommes étouffants qui l'entoure sans que leur valeur intellectuelle ne justifie en rien cette emprise. Bref là où on attendait un féminisme assumé et rayonnant, on ne trouve que des femmes étouffées par des hommes misogynes égocentriques. C'est triste et pour les femmes et pour les hommes.

une demi-étoile, je ne peux pas mettre moins ! ce qu'il faut en retenir: c'est la fille de Bedos,
le scénario est fait de bric et de broc, Victoria "Bedos" en fait des tonnes et c'est raté!
quant à François Berléand, que l'on voit partout, au ciné à la télé, on dirait qu'on ne peut plus se passer de lui, qu'allait-il faire dans cette galère et ne parlons surtout pas de Chantal Lauby qui est de plus en plus nulle de film en film, elle donne l'impression d'être là de passage, il faut dire que je ne l'ai jamais trouvé bonne comédienne, ici dans ce film elle est au top de sa nullité;
et oui encore un film français, un de plus, qui brille par médiocrité !!!

Simplement immonde, surtout pas drôle et mal joué, quel bande de bras-cassés c'est pas possible un nanar pareil ! des filles et fils à maman et papa, nullissime ! Mais collant à la perfection à cette société de bobos décérébrés métastasant la France. Tout ça va très bientôt changer...

Un film d'une nullité impressionnante, d'une médiocrité telle qu'au bout de 15 mn de visionnage, la décision fatale s'imposait : quitter la salle, quitter cet univers hideux à tout jamais, quitter le visage de cette "actrice" immonde. Les acteurs ( à part Chantal) font pitié. Le jeu d'acteur du personnage principal est juste à vomir tellement il dégouline de mièvrerie et de stupidité. Si vous voulez vous éviter une ENORME déception et une autrement plus ENORME perte de temps, arrêtez vous à cette critique.

Film extrêmement décevant, histoire sans intérêt, de très grands acteurs pour un film d'amateur, un Benjamin Biolley hors sujet. Des dialogues mal écrits, ni drôle, ni touchant, ni sincère, une grande déception.

Le problème, c'est que Victoria Bedos est une piètre scénariste. Sur les plateaux de télé où elle a été invitée grâce à son nom pour la promo de La Famille Bélier, elle n'a, pas une fois, cité son co-scénariste, Stanislas Carré de Malberg, elle-même n'ayant quasiment qu'apporté l'"idée originale", largement inspirée - pour ne pas dire plagiée - d'un film Allemand de 1996, Au-delà du silence.
Le scénario de Vicky est pathétique, construit sans rigueur, mal écrit, sans l'ombre d'un intérêt. On se fout totalement de la vie de cette fille de. Et on rajoute un couple muet - la Famille Bélier a bien marché, alors, on reprend un bout de la recette. Etre "fille de" ne suffit pas à donner du talent.

Caricature, voix off absurde, personnages poussés et poussifs, écriture de copinage où sûrement ils ont du se dire : oh oui vas y c'est drôle !! ... mais non, ce n'est pas drôle, vous avez beau vous agiter dans tous les sens c'est pathétique, affligeant, et on produit ça ???? Et pourtant j'étais content de le voir et de minute en minute je me disais : non, non nonnnnnn??? ah ben oui, on fait des films français comme ça, et on s'étonne que les chiffres baissent ? non, ne vous étonnez pas, ce "film" est le vrp de la mauvaise comédie française des année 2010. il peut au moins s'enorgueillir de ça. Pour le reste... aucun talent et zéro pointé, pour tout. Please : reprenez, ou prenez des cours d'écriture, vous savez, le truc avec des mots et une structure qui permet au spécateur de prendre du plaisir pendant une heure trente en payant sa place ou sa location. Merci pour nous !